"J'ai encore des mots dans ma tête,
je t'aime… promis… ensemble… demain...
c'est fini… fuir… ne jamais… oublie moi...
Et même si ma mémoire s'empêche d'y croire
et mon cerveau s'abreuve d'une fausse flamme,
non, je t'en veux pas.
J'aurais
pu tout détruire avec mes mains,
j’aurais pu tout casser guidée par la haine,
tout gâcher et bander mes yeux en étant consciente
mais en vérité, je me rends compte que ça sert à rien.
J’avoue, j’avais cru être différente,
mais je suis pas l’exception, ça j’en suis sure maintenant.
J’aurais dépassé toutes les limites pour défendre mes croyances
et les protéger arrêtant avec ma peau un milliard de balles,
mais tu n’es pas fait pour attendre,
comme l’art éphémère d’abord tu regardes
et ensuite tu t’en vas, tu continues seul ton chemin.
Rien n’aurait été suffisant pour toi et pourtant,
non, je t’en veux pas
j’aurais pu tout casser guidée par la haine,
tout gâcher et bander mes yeux en étant consciente
mais en vérité, je me rends compte que ça sert à rien.
J’avoue, j’avais cru être différente,
mais je suis pas l’exception, ça j’en suis sure maintenant.
J’aurais dépassé toutes les limites pour défendre mes croyances
et les protéger arrêtant avec ma peau un milliard de balles,
mais tu n’es pas fait pour attendre,
comme l’art éphémère d’abord tu regardes
et ensuite tu t’en vas, tu continues seul ton chemin.
Rien n’aurait été suffisant pour toi et pourtant,
non, je t’en veux pas
Parfois je me dis que j’ai été conne,
et la confiance me montre encore que souvent je me trompe,
mais je me débats pour prouver que ça me rendra plus forte.
Pour l’instant j’essaie de me convaincre que c’était le meilleur choix
et que la vérité me frappe pour que je devienne une combattante.
En sachant que ce qui m’a tenu debout ne sera plus là
je cache mes blessures et je garde mon sang froid, et pourtant,
non, je t’en veux pas.
et la confiance me montre encore que souvent je me trompe,
mais je me débats pour prouver que ça me rendra plus forte.
Pour l’instant j’essaie de me convaincre que c’était le meilleur choix
et que la vérité me frappe pour que je devienne une combattante.
En sachant que ce qui m’a tenu debout ne sera plus là
je cache mes blessures et je garde mon sang froid, et pourtant,
non, je t’en veux pas.
Parce que tu es comme l'oiseau qui s'envole haut dans le ciel,
comme le vent qui brise sa cage, qui ne pourra a rien s'attacher,
et dont le drapeau sera aujourd'hui et demain... la liberté."
S. Hexentanz